Titre : | L' habitat precaire et le relogement : le cas des planteurs a oran | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | blaha DERROUICHE, Auteur | Année de publication : | 2009 | Importance : | 169 p. | Langues : | Français (fre) | Catégories : | Architecture:urbanisme
| Mots-clés : | l’habitat precaire, le relogement, la ville algérienne, oran ,le phénoméne , urbanisme | Résumé : | La ville algérienne à toujours constitué un enjeu sur les plans ( social politique et economique ) après l’indépendance , les luttes urbaines se sont limitées à une sort de squattérisassions de logements vides laissés par les européens , une diziaine d’a’année après et suite à la saturation de ceparc et une négligence du secteur de l’habitat de la part de l’etat , le logement a commencé à consitituer la permiére préoccupation sociale , les autres enjeux urbains (équipements) étaient traités essentiellement au niveau des appareils d’etat
Le phénoméne de l’habitat précaire ou populaire né de crise de l’habitat , est le plus décrié parce qu’il engendre des conditions de vie très difficiles , mais aussi parce qu’il nest pas institutionnel , il n’est pas encore autorisé , il n’est pas a
Institutionnel , il n’est pas encore autorisé . il n’est pas l’initiative de l’eta , encore moins controlées ( pour ne pas dire abandonnées) au sus et au vue de tout le monde par une population issue de la ville elle- meme ou issue d’une mobilité extra urbaine ,pour ne pas utiliser le terme d'exod’ rural ou exode tout court , les sites précaires ont existé et existent toujour dans la majorité des pays méme ceux qui se considérent comme développés . les exemples de pays étrangers approchés dans ce travail concernent lisbonne , captale portugaise et casablanca capitale économique dans milieux complétements différent sur le plan socioculturel , économique et politique .
L’ algérie dont l’histoir aurait pu etre un atout pour lui éviter de connaitre ce type d’habitats , n’avait pas pu saisir cette opportunité , les systémes de gestion qui se sont succédé depuis l’indépendance étaient incapables de venir à bout de ce phénoméne de l’habitat non institutionnel b, le cas des planteur à oran , dont le discours officiel présente comme une lutte contre l’habitat insalubre et pour une amélioration des conditions de vie ces habitants montre bien que les conséquences sont souvent négatives , le relogement , souvent utilisé pour des poérations d’urbanisme est présenté officiellement comme une action social , les enquétes menées sur les sites de relogement , montrent bien les enjeux et les stratégies de groupes qui s’y érigent . les relogement des population issues de l’habitat précaire ne sont pas toujour des événement heureux , tel que présentés par le discours officiel
| Directeur de thèse : | BRAHIMI ,Kouider |
L' habitat precaire et le relogement : le cas des planteurs a oran [texte imprimé] / blaha DERROUICHE, Auteur . - 2009 . - 169 p. Langues : Français ( fre) Catégories : | Architecture:urbanisme
| Mots-clés : | l’habitat precaire, le relogement, la ville algérienne, oran ,le phénoméne , urbanisme | Résumé : | La ville algérienne à toujours constitué un enjeu sur les plans ( social politique et economique ) après l’indépendance , les luttes urbaines se sont limitées à une sort de squattérisassions de logements vides laissés par les européens , une diziaine d’a’année après et suite à la saturation de ceparc et une négligence du secteur de l’habitat de la part de l’etat , le logement a commencé à consitituer la permiére préoccupation sociale , les autres enjeux urbains (équipements) étaient traités essentiellement au niveau des appareils d’etat
Le phénoméne de l’habitat précaire ou populaire né de crise de l’habitat , est le plus décrié parce qu’il engendre des conditions de vie très difficiles , mais aussi parce qu’il nest pas institutionnel , il n’est pas encore autorisé , il n’est pas a
Institutionnel , il n’est pas encore autorisé . il n’est pas l’initiative de l’eta , encore moins controlées ( pour ne pas dire abandonnées) au sus et au vue de tout le monde par une population issue de la ville elle- meme ou issue d’une mobilité extra urbaine ,pour ne pas utiliser le terme d'exod’ rural ou exode tout court , les sites précaires ont existé et existent toujour dans la majorité des pays méme ceux qui se considérent comme développés . les exemples de pays étrangers approchés dans ce travail concernent lisbonne , captale portugaise et casablanca capitale économique dans milieux complétements différent sur le plan socioculturel , économique et politique .
L’ algérie dont l’histoir aurait pu etre un atout pour lui éviter de connaitre ce type d’habitats , n’avait pas pu saisir cette opportunité , les systémes de gestion qui se sont succédé depuis l’indépendance étaient incapables de venir à bout de ce phénoméne de l’habitat non institutionnel b, le cas des planteur à oran , dont le discours officiel présente comme une lutte contre l’habitat insalubre et pour une amélioration des conditions de vie ces habitants montre bien que les conséquences sont souvent négatives , le relogement , souvent utilisé pour des poérations d’urbanisme est présenté officiellement comme une action social , les enquétes menées sur les sites de relogement , montrent bien les enjeux et les stratégies de groupes qui s’y érigent . les relogement des population issues de l’habitat précaire ne sont pas toujour des événement heureux , tel que présentés par le discours officiel
| Directeur de thèse : | BRAHIMI ,Kouider |
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