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Faire une suggestion Affiner la rechercheAnalyse statistique des pluies journalières dans la région steppique de l’Ouest Algérie. / BOUCEFIANE Abdelkader
Titre : Analyse statistique des pluies journalières dans la région steppique de l’Ouest Algérie. Type de document : document électronique Auteurs : BOUCEFIANE Abdelkader, Auteur ; MEDDI Mohamed, Directeur de thèse ; CHERIF El-Amine, Directeur de thèse Année de publication : 2017-2018 Accompagnement : CD Langues : Français (fre) Catégories : Hydraulique:Hydraulique Mots-clés : الج ا زئر.منطقة السهوب لغرب ،Gumbel ،GEVالأمطار، القیم القصوى الیومیة، الإحصاء، دوال التوزیع
Pluies, Maximales Journalières, Statistiques, Distributions, GEV, Gumbel,
Steppes de l’Ouest Algérie.
Rainfall, maximum daily, Statistics, Distributions, GEV, Gumbel, Steppes of
western Algeria.Résumé : L’ajustement des pluies journalières maximales annuelles montre que le modèle gumbelien classiquement utilisé n’est pas parfaitement bien adapté à la région steppique de l’Ouest Algérie.
En fait la présence dans un échantillon de taille 40, d’une observation de fréquence centennale affecte l’estimation des paramètres et conduit à sous-estimer la fréquence de cette valeur. On trouve alors que l’on a observé beaucoup trop de pluies dont la loi de Gumbel estime la période de retour à plus de 10 ans. Manifestement la loi de Gumbel a tendance à sous-estimer les précipitations extrêmes.
Dans une deuxième étape, nous avons tenté d’utiliser la loi GEV en ajustant les trois paramètres pour chacune des stations pluviométriques. En conséquence de la forte incertitude sur l’estimation du paramètre de forme k due surtout à la taille des échantillons, il n’est pas souvent possible de rejeter l’hypothèse nulle. Par ailleurs on pourrait préjuger que k soit caractéristique du climat et présente ainsi une structure spatiale. Ainsi, on opte pour hypothèse que les pluies journalières maximales annuelles de notre région sont distribuées selon des lois GEV mais dont k est une constante régionale à déterminer. Une valeur de k= -0.053 constante
sur la zone est une hypothèse acceptable vis-à-vis des incertitudes sur les estimations locales.
Cette valeur de k permet également de retrouver globalement un nombre d’observation en accords avec les périodes de retour estimées.
Outre, l’analyse régionale des pluies journalières maximales basée sur la méthode des L-moments à montrer l’aptitude des pluies journalières maximales de la région d’étude de suivre une distribution généralisée de valeurs extrêmes (GEV).
Annual maximum daily rainfall adjustment shows that the model gumbelien traditionally used is not perfectly suited to the steppe region of western Algeria.
In fact the presence in a sample of size 36, a centennial observation of frequency affects the estimation of parameters and leads to underestimate the frequency of that value. We therefore simulate what could be the number of observations based on their frequency estimated taking into account this effect. We then find that there was too much rain that the Gumbel distribution estimates the return period more than 10 years. Clearly the Gumbel distribution tends to underestimate the extreme precipitation.
In a second step, we tried to use the GEV law by adjusting the three parameters for each of the rainfall stations. Consequently of the high uncertainty in estimating of the shape parameter k mainly due of sample size, that it is often not possible to reject the null hypothesis.
Furthermore it could prejudice that k is characteristic of the climate and thus has a spatial structure. Therefore we opted for hypothesis that annual maximum daily rainfalls in our region are distributed according to GEV laws but k is a regional constant to be determined. A value of k=-0053 constant over the area is an acceptable hypothesis in relation to the uncertainties on the local estimates. This value of k allows also find overall a number of observations in agreement with the estimated return periods.
Furthermore, the regional analysis of maximum daily rainfall based on L-moments method show the ability of generalized extreme value model (GEV) to represent the distribution of maximum daily rainfall of the study area.
المستعمل عادة، یعتبر غیرGumbel لقد تبین من خلال مطابقة توزیع الأمطار الیومیة القصوى السنویة، أن نموذج
مناسب تماما لمنطقة السهوب لغرب الج ا زئر.
في الواقع ، إن تواجد قیمة ذات تردد 100 سنة في عینات لا تتعدى 40 قیمة، یؤثر في تقدیر الثوابت مما یؤدي إلى
ترددها بأكثر Gumbel تقدیر ناقص لتردد هذه القیمة. وبالتالي نجد أن هناك الكثیر من قیم الأمطار حیث یقدر قانون
یمیل إلى التقلیل من قیمة هطول الأمطار الیومیة القصوى. Gumbel من 10 سنوات، ومن هنا یتضح أن قانون
من خلال تقدیر الثوابت الثلاث لهذا النموذج لكل (GEV) في المرحلة الثانیة ، حاولنا استخدام نموذج القیمة القصوى العام
الناتج أساسا عن حجم العینات، (k) محطة من محطات قیاس الأمطار. ونتیجة للارتیابات الكبیرة في تقدیر ثابت الشكل
(k) فإنه من غیر الممكن و في غالب الأحیان رفض الفرضیة الصفریة. من ناحیة أخرى، یمكن لنا الحكم مسبقا على أن
هو سمة ممیزة للمناخ ویقدم إذا بنیة مكانیة. وبالتالي، سنعتمد فرضیة، أن توزیع هطول الأمطار الیومیة القص وى السنویة
ثابتة للمنطقة هي k = - هو ثابت إقلیمي یتم تحدیده. تعتبر القیمة 0.053 k ولكن ،(GEV) في منطقتنا یتم وفقًا لقوانین
هذه إمكانیة العثور على k فرضیة مقبولة مقارنة بالارتیابات المسجلة حول التقدی ا رت على مستوى المحطة. كما تتیح قیمة
عدد قیم مطابق على العموم للترددات المقدرة.
أظه رت قابلیة ،L-moments بالإضافة إلى ذلك، أن التحلیل الإقلیمي لهطول الأمطار الیومیة القص وى باستعمال طریقة
.(GEV) هطول الأمطار الیومیة القص وى لمنطقة الد ا رسة لإتباع نموذج توزیع القیم القصوى العام
Analyse statistique des pluies journalières dans la région steppique de l’Ouest Algérie. [document électronique] / BOUCEFIANE Abdelkader, Auteur ; MEDDI Mohamed, Directeur de thèse ; CHERIF El-Amine, Directeur de thèse . - 2017-2018 . - + CD.
Langues : Français (fre)
Catégories : Hydraulique:Hydraulique Mots-clés : الج ا زئر.منطقة السهوب لغرب ،Gumbel ،GEVالأمطار، القیم القصوى الیومیة، الإحصاء، دوال التوزیع
Pluies, Maximales Journalières, Statistiques, Distributions, GEV, Gumbel,
Steppes de l’Ouest Algérie.
Rainfall, maximum daily, Statistics, Distributions, GEV, Gumbel, Steppes of
western Algeria.Résumé : L’ajustement des pluies journalières maximales annuelles montre que le modèle gumbelien classiquement utilisé n’est pas parfaitement bien adapté à la région steppique de l’Ouest Algérie.
En fait la présence dans un échantillon de taille 40, d’une observation de fréquence centennale affecte l’estimation des paramètres et conduit à sous-estimer la fréquence de cette valeur. On trouve alors que l’on a observé beaucoup trop de pluies dont la loi de Gumbel estime la période de retour à plus de 10 ans. Manifestement la loi de Gumbel a tendance à sous-estimer les précipitations extrêmes.
Dans une deuxième étape, nous avons tenté d’utiliser la loi GEV en ajustant les trois paramètres pour chacune des stations pluviométriques. En conséquence de la forte incertitude sur l’estimation du paramètre de forme k due surtout à la taille des échantillons, il n’est pas souvent possible de rejeter l’hypothèse nulle. Par ailleurs on pourrait préjuger que k soit caractéristique du climat et présente ainsi une structure spatiale. Ainsi, on opte pour hypothèse que les pluies journalières maximales annuelles de notre région sont distribuées selon des lois GEV mais dont k est une constante régionale à déterminer. Une valeur de k= -0.053 constante
sur la zone est une hypothèse acceptable vis-à-vis des incertitudes sur les estimations locales.
Cette valeur de k permet également de retrouver globalement un nombre d’observation en accords avec les périodes de retour estimées.
Outre, l’analyse régionale des pluies journalières maximales basée sur la méthode des L-moments à montrer l’aptitude des pluies journalières maximales de la région d’étude de suivre une distribution généralisée de valeurs extrêmes (GEV).
Annual maximum daily rainfall adjustment shows that the model gumbelien traditionally used is not perfectly suited to the steppe region of western Algeria.
In fact the presence in a sample of size 36, a centennial observation of frequency affects the estimation of parameters and leads to underestimate the frequency of that value. We therefore simulate what could be the number of observations based on their frequency estimated taking into account this effect. We then find that there was too much rain that the Gumbel distribution estimates the return period more than 10 years. Clearly the Gumbel distribution tends to underestimate the extreme precipitation.
In a second step, we tried to use the GEV law by adjusting the three parameters for each of the rainfall stations. Consequently of the high uncertainty in estimating of the shape parameter k mainly due of sample size, that it is often not possible to reject the null hypothesis.
Furthermore it could prejudice that k is characteristic of the climate and thus has a spatial structure. Therefore we opted for hypothesis that annual maximum daily rainfalls in our region are distributed according to GEV laws but k is a regional constant to be determined. A value of k=-0053 constant over the area is an acceptable hypothesis in relation to the uncertainties on the local estimates. This value of k allows also find overall a number of observations in agreement with the estimated return periods.
Furthermore, the regional analysis of maximum daily rainfall based on L-moments method show the ability of generalized extreme value model (GEV) to represent the distribution of maximum daily rainfall of the study area.
المستعمل عادة، یعتبر غیرGumbel لقد تبین من خلال مطابقة توزیع الأمطار الیومیة القصوى السنویة، أن نموذج
مناسب تماما لمنطقة السهوب لغرب الج ا زئر.
في الواقع ، إن تواجد قیمة ذات تردد 100 سنة في عینات لا تتعدى 40 قیمة، یؤثر في تقدیر الثوابت مما یؤدي إلى
ترددها بأكثر Gumbel تقدیر ناقص لتردد هذه القیمة. وبالتالي نجد أن هناك الكثیر من قیم الأمطار حیث یقدر قانون
یمیل إلى التقلیل من قیمة هطول الأمطار الیومیة القصوى. Gumbel من 10 سنوات، ومن هنا یتضح أن قانون
من خلال تقدیر الثوابت الثلاث لهذا النموذج لكل (GEV) في المرحلة الثانیة ، حاولنا استخدام نموذج القیمة القصوى العام
الناتج أساسا عن حجم العینات، (k) محطة من محطات قیاس الأمطار. ونتیجة للارتیابات الكبیرة في تقدیر ثابت الشكل
(k) فإنه من غیر الممكن و في غالب الأحیان رفض الفرضیة الصفریة. من ناحیة أخرى، یمكن لنا الحكم مسبقا على أن
هو سمة ممیزة للمناخ ویقدم إذا بنیة مكانیة. وبالتالي، سنعتمد فرضیة، أن توزیع هطول الأمطار الیومیة القص وى السنویة
ثابتة للمنطقة هي k = - هو ثابت إقلیمي یتم تحدیده. تعتبر القیمة 0.053 k ولكن ،(GEV) في منطقتنا یتم وفقًا لقوانین
هذه إمكانیة العثور على k فرضیة مقبولة مقارنة بالارتیابات المسجلة حول التقدی ا رت على مستوى المحطة. كما تتیح قیمة
عدد قیم مطابق على العموم للترددات المقدرة.
أظه رت قابلیة ،L-moments بالإضافة إلى ذلك، أن التحلیل الإقلیمي لهطول الأمطار الیومیة القص وى باستعمال طریقة
.(GEV) هطول الأمطار الیومیة القص وى لمنطقة الد ا رسة لإتباع نموذج توزیع القیم القصوى العام
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1505 02-17-130 Version numérique et papier Bibliothèque USTOMB Thèse de Doctorat Exclu du prêt Documents numériques
02-17-130.pdfAdobe Acrobat PDF
Titre : Application de modèles hydrologiques dans l’estimation des crues extrêmes en Algérie. Type de document : document électronique Auteurs : KETROUCI Khadidja, Auteur ; MEDDI Mohamed, Directeur de thèse Année de publication : 2014 Importance : 177p. Accompagnement : CD Langues : Français (fre) Catégories : Hydraulique:Hydraulique Mots-clés : Hydrologie de surface, crues, modèles de référence, bassin de la Tafna, Algérie.
surface hydrology, floods, reference models, Tafna basin, Algeria.Résumé : Le bassin versant de la Tafna, situé dans le Nord Ouest Algérien, a connu des crues particulièrement importantes ces dernières années. Face à la récurrence de ces événements exceptionnels, l’estimation et la prédétermination des quantiles extrêmes des crues constituent un axe stratégique de prévention contre les inondations dans cette région.
Au début une définition préalable de l’ensemble des paramètres géomorphologiques, géologiques, hydrologiques et climatiques des sous bassins versants de la Tafna a été effectuée afin de caractériser le régime d’écoulement des oueds de cette région.
Lors de l’étude de caractérisation et de classification des crues extrêmes de la Tafna, il a paru que ces crues peuvent être qualifiées de faibles à fortes comparées à celles des grands Européens et Africains. Bien qu’avec des intensités variables, la majorité de ces crues ont été dévastatrices, ce qui laisse à penser que ce phénomène hydrologique à été amplifié par l’activité humaine, notamment par une urbanisation anarchique et un développement des installations et des activités économiques dans des zones inondables.
Les résultats issus de la modélisation des crues montrent une bonne validité et adéquation du modèle de Florac pour estimer les quantiles de l’oued Isser à Sidi Aissa. Ce modèle a prouvé encore sa performance et son adéquation au régime des crues du bassin versant de l’oued Isser. Les résultats trouvés sur l’oued Mouilah et l’oued Sebdou, montrent une bonne validité du modèle régional de Vandenesse.
Recently, Tafna catchment (drainage basin), located in the northwest of
Algeria, has undergone a quite significant floods. Because of the repetition of such
exceptional events, the assessment and the predetermination of the extreme quantiles
of the floods represent a preventive and strategic means against the floods in this
region.
First, a definition of geomorphological, geological, hydrological and climatic
parameters in the drainage basin of the Tafna has been provided in order to
characterize the rate of wadis flow of this region.
During the study concerning characterization and classification of extreme
floods of Tafna, it seemed that these floods can be qualified as weak to strong
compared to the major European and African wadis. Though, with varying intensities,
the majority of these floods were destroying. This suggests that this meteorological
phenomenon was amplified by the human activity, especially through an uncontrolled
urbanization and a development of facilities and economic activities in the liable
flooding regions.
The results derived from the flood modeling show a good validity and adequacy
of Florac model to assess the quantiles of Isser wadi in Sidi Aissa. The Florac model
has again shown its performance and appropriateness to the flood regime of the
drainage basin of the Isser wadi.The obtained results on the Mouilah and Sebdou
Wadis show a good validity of the Vandenesse regional model.
Application de modèles hydrologiques dans l’estimation des crues extrêmes en Algérie. [document électronique] / KETROUCI Khadidja, Auteur ; MEDDI Mohamed, Directeur de thèse . - 2014 . - 177p. + CD.
Langues : Français (fre)
Catégories : Hydraulique:Hydraulique Mots-clés : Hydrologie de surface, crues, modèles de référence, bassin de la Tafna, Algérie.
surface hydrology, floods, reference models, Tafna basin, Algeria.Résumé : Le bassin versant de la Tafna, situé dans le Nord Ouest Algérien, a connu des crues particulièrement importantes ces dernières années. Face à la récurrence de ces événements exceptionnels, l’estimation et la prédétermination des quantiles extrêmes des crues constituent un axe stratégique de prévention contre les inondations dans cette région.
Au début une définition préalable de l’ensemble des paramètres géomorphologiques, géologiques, hydrologiques et climatiques des sous bassins versants de la Tafna a été effectuée afin de caractériser le régime d’écoulement des oueds de cette région.
Lors de l’étude de caractérisation et de classification des crues extrêmes de la Tafna, il a paru que ces crues peuvent être qualifiées de faibles à fortes comparées à celles des grands Européens et Africains. Bien qu’avec des intensités variables, la majorité de ces crues ont été dévastatrices, ce qui laisse à penser que ce phénomène hydrologique à été amplifié par l’activité humaine, notamment par une urbanisation anarchique et un développement des installations et des activités économiques dans des zones inondables.
Les résultats issus de la modélisation des crues montrent une bonne validité et adéquation du modèle de Florac pour estimer les quantiles de l’oued Isser à Sidi Aissa. Ce modèle a prouvé encore sa performance et son adéquation au régime des crues du bassin versant de l’oued Isser. Les résultats trouvés sur l’oued Mouilah et l’oued Sebdou, montrent une bonne validité du modèle régional de Vandenesse.
Recently, Tafna catchment (drainage basin), located in the northwest of
Algeria, has undergone a quite significant floods. Because of the repetition of such
exceptional events, the assessment and the predetermination of the extreme quantiles
of the floods represent a preventive and strategic means against the floods in this
region.
First, a definition of geomorphological, geological, hydrological and climatic
parameters in the drainage basin of the Tafna has been provided in order to
characterize the rate of wadis flow of this region.
During the study concerning characterization and classification of extreme
floods of Tafna, it seemed that these floods can be qualified as weak to strong
compared to the major European and African wadis. Though, with varying intensities,
the majority of these floods were destroying. This suggests that this meteorological
phenomenon was amplified by the human activity, especially through an uncontrolled
urbanization and a development of facilities and economic activities in the liable
flooding regions.
The results derived from the flood modeling show a good validity and adequacy
of Florac model to assess the quantiles of Isser wadi in Sidi Aissa. The Florac model
has again shown its performance and appropriateness to the flood regime of the
drainage basin of the Isser wadi.The obtained results on the Mouilah and Sebdou
Wadis show a good validity of the Vandenesse regional model.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 4983 02-17-87 Version numérique et papier Bibliothèque USTOMB Thèse de Doctorat Exclu du prêt Documents numériques
Application de modèles hydrologiques dans l’estimation des crues extrêmes en Algérie.Adobe Acrobat PDF
Titre : Approche régionale pour l´estimation des distributions ponctuelles des pluies journalières dans le bassin hydrographique Chéliff Type de document : document électronique Auteurs : BENHATTAB Karima, Auteur ; MEDDI Mohamed, Directeur de thèse Année de publication : 2017 Importance : 323 p. Accompagnement : CD Langues : Français (fre) Catégories : Hydraulique:Hydraulique Mots-clés : Régions homogènes , modèles régionaux, L-moments , stations-années, quantiles de précipitations maximales journalières, le bassin du Chéliff. Résumé : L’estimation des précipitations extrêmes est un sujet qui suscite de plus en plus d’intérêt dans le domaine des sciences de l’eau. Néanmoins, cette estimation reste assez compliquée à cause de ces deux principaux facteurs: (a)- l’absence d’une base physique pour déterminer la forme de la distribution sous-jacente de la fréquence des pluies et (b)- la nécessité d’évaluer ces précipitations pour des périodes de retour qui dépassent la longueur de l’enregistrement observé. Pour des périodes de retour élevées (à partir de 50, 100 ans), l’extrapolation vers les valeurs rares de la distribution des pluies en un point donné pose la question du comportement asymptotique de cette distribution (la queue de la distribution) qui est difficile à caractériser compte tenu de la durée généralement courte des séries d’observations locales. Cette problématique peut être résolue si on élargit les données à l’espace régional, à la condition qu’il soit homogène, ou rendu homogène par une transformation ad hoc.
Les méthodes d’analyse de fréquence régionale permettent d’estimer pour un site donné, et sur la base de l’information régionale, les précipitations de grande magnitude ou de faible probabilité au dépassement afin de dimensionner certaines structures hydrauliques (pont, digue, ponceau, barrage, les ouvrages anti érosifs et les réseaux d’assainissement etc.) ou estimer les risques associés au bris de ces ouvrages résultant de crues extraordinaires.
Le principe de base des techniques d’estimation régionale consiste à ajouter à l’information locale une information spatiale provenant de bassins ayant un régime hydrologique similaire à celui du bassin cible (faisant partie de la même région homogène). L’implantation des modèles régionaux permettent l’estimation des quantiles de crue lorsque l’information hydrologique en un site est absente ou insuffisante. Une estimation régionale comprend donc deux étapes principales : (1)- la détermination d’une région homogène (DRH)i par une méthode (i) et (2)- le choix et l’application d’une méthode d’estimation régionale (MER)i.
L’objectif principal de ce travail est le développement d’une méthode d’analyse de fréquence régionale devant permettre d’estimer les quantiles de précipitations maximales journalières en des sites ayant peu de données dans le bassin du Chéliff.
La méthode de délimitation des régions homogènes proposée et testée s’inspire des travaux de Hosking & Wallis [1993, 1990, 2005] et repose sur l’application des L-moments pour valider l’homogénéité statistique de la région et caractériser les paramètres de la distribution GEV choisie a priori. A titre de comparaison deux méthodes statistiques d’analyse de fréquence régionale ont été testée : L-moments et stations-années.
Cette étude devrait contribuer à l’exploration des caractéristiques complexes des précipitations extrêmes pour l’un des plus grands bassins du Nord de l’Algérie, ce qui est bénéfique pour les décideurs politiques et les parties prenantes dans la gestion des ressources en eau afin de formuler des stratégies régionales de lutte contre les risques des inondations.
The estimation of extreme precipitation events is a subject that raises more and more interest in the field of water science. However, this estimate is rather complicated due to these two main factors: (a) the lack of a physical basis for determining the shape of the underlying distribution of frequency rainfall and (b) the need to assess these rainfalls for return periods exceeding the record length observed. For high return periods (from 50, 100 years), the extrapolation to rare values of rainfall’s distribution in a given point raises the question of the asymptotic behavior of this distribution (the tail of the distribution) that is difficult to characterize considering the short series of local observations. This problem can be solved if we expand the data to the regional space, providing it is homogeneous, or made homogeneous by an ad hoc transformation.
The regional frequency analysis methods are used to estimate for a given site, and on the basis of regional information, rainfall of great magnitude or lower probability to exceeding in order to size some hydraulic structures (bridges, dikes, culverts, dams, the anti erosion structures and sewerage networks etc.) or to estimate the risks associated with failure of these structures resulting from extraordinary flood.
The basic principle of regional estimation techniques consists to add the local information spatial information from basins having a hydrologic regime similar to that of the target basin (part of the same homogeneous region). The implementations of regional models allow the estimation of flood quantiles when the hydrological information at a site is absent or insufficient. A regional estimate includes two main steps: (1) - determination of a homogeneous region (DHR)i by a method (i) and (2) - selection and implementation of a regional estimation method (REM)i.
The main objective of this work is the development of a regional frequency analysis method to estimate the maximum daily rainfall quantile at sites with limited data in the Chéliff basin. The method of delimitation of homogeneous regions proposed and tested is built on Hosking & Wallis works [1993, 1990, and 2005] and is based on application of the L-moments to validate the statistical homogeneity of the region and characterize the parameters of the chosen GEV distribution. For comparison two statistical methods of regional frequency analysis were tested: L-moments and station-years.
This study should contribute to the exploration of complex characteristics of extreme precipitation for one of the biggest basins of Northern Algeria, which is beneficial for policy makers and stakeholders in water resource management to formulate regional strategies against the risk of flooding
هذاالتقدير معقد نوعا ما والسبب راجعا إلى:
1) عدم وجود أساس مادي لتحديد شكل تواتر توزيع الأمطار
2) ضرورة تقييم هذه الأمطار عندما تفوق فترات عودتها طول سجل الأمطار المرصودة.
- من أجل فترات عودة معتبرة (50 أو 100 سنة وفوق) استكمال القيم النادرة لتوزيع الأمطار في بقعة معينة يطرح سؤال شكل الخط المقارب لهذا التوزيع ( ذيل التوزيع) حيث تكمن الصعوبة في تحديد خصائصها بسبب قصر العينات المرصودة محليا.
- يمكن حل هذه المشكلة إذا قمنا بتوسيع البيانات إلى الفضاء الإقليمي شريطة أن يكون متجانس أو جعله متجانس بواسطة تغيير مخصص لذلك. طرق تحليل التردد الإقليمي تستخدم لتقدير موقع معين وعلى أساس المعلومات الإقليمية الأمطار من حجم كبير أو أدنى احتمال لتجاوز من أجل تحديد أبعاد بعض المنشآت الهيدروليكية (الجسور, السدود, القنوان, هياكل مكافحة تأكل التربة وشبكات الصرف الصحي وغيرها).
أو لتقدير المخاطر المرتبطة بفقدان هذه الهياكل الناجمة عن الفيضانات الغير العادية مبدأ تقنيات التقدير الإقليمي تكمن في إضافة معلومات جوارية إلى المعلومات المحلية من الأحواض الهيدرولوجية من نفس نظام مماثل للحوض الهدف (جزء من نفس المنطقة المتجانسة) تطبيق النماذج الإقليمية تسمح بتقدير الفيضانات عندما تكون المعلومات الهيدرولوجية غائبة أو غير كافية محليا.
- يشمل التقدير الإقليمي خطوتين أساسيتين:
1) تحديد منطقة متجانسة 2) اختيار وتنفيد طريقة التقدير الإقليمي.
الهدف من هذه الدراسة هو تطوير طريقة تحليل التردد الإقليمي لتقدير الأمطار اليومية القصوى في مواقع مع بيانات محدودة في حوض الصرف لشلف.
طريقة ترسيم حدود المناطق المتجانسة المقترحة والمختبرة بنيت على أعمال هوسكينغ واليس( 1990 , 1993 , 1997) وتعتمد على تطبيق "لألمومو" للتحقق من صحة . GEV التجانس الإحصائي للمنطقة وتحديد خصائص البارامترات المختارة لتوزيع
- للمقارنة تم اختبار اثنتين من الأساليب الإحصائية لتحليل التردد الإقليمي أنتكس فلود أند و ستسيوا يورز يمكن اعتبار هذه الدراسة مساهمة مهمة لاستكشاف الخصائص المعقدة لهطول الأمطار القصوى لواحد من أكبر الأحواض في شمال الجزائر, وفائدة لراسمي السياسات وأصحاب المصلحة في ادارة الموارد المائية لوضع استراتيجيات إقليمية ضد مخاطر الفيضانات
Approche régionale pour l´estimation des distributions ponctuelles des pluies journalières dans le bassin hydrographique Chéliff [document électronique] / BENHATTAB Karima, Auteur ; MEDDI Mohamed, Directeur de thèse . - 2017 . - 323 p. + CD.
Langues : Français (fre)
Catégories : Hydraulique:Hydraulique Mots-clés : Régions homogènes , modèles régionaux, L-moments , stations-années, quantiles de précipitations maximales journalières, le bassin du Chéliff. Résumé : L’estimation des précipitations extrêmes est un sujet qui suscite de plus en plus d’intérêt dans le domaine des sciences de l’eau. Néanmoins, cette estimation reste assez compliquée à cause de ces deux principaux facteurs: (a)- l’absence d’une base physique pour déterminer la forme de la distribution sous-jacente de la fréquence des pluies et (b)- la nécessité d’évaluer ces précipitations pour des périodes de retour qui dépassent la longueur de l’enregistrement observé. Pour des périodes de retour élevées (à partir de 50, 100 ans), l’extrapolation vers les valeurs rares de la distribution des pluies en un point donné pose la question du comportement asymptotique de cette distribution (la queue de la distribution) qui est difficile à caractériser compte tenu de la durée généralement courte des séries d’observations locales. Cette problématique peut être résolue si on élargit les données à l’espace régional, à la condition qu’il soit homogène, ou rendu homogène par une transformation ad hoc.
Les méthodes d’analyse de fréquence régionale permettent d’estimer pour un site donné, et sur la base de l’information régionale, les précipitations de grande magnitude ou de faible probabilité au dépassement afin de dimensionner certaines structures hydrauliques (pont, digue, ponceau, barrage, les ouvrages anti érosifs et les réseaux d’assainissement etc.) ou estimer les risques associés au bris de ces ouvrages résultant de crues extraordinaires.
Le principe de base des techniques d’estimation régionale consiste à ajouter à l’information locale une information spatiale provenant de bassins ayant un régime hydrologique similaire à celui du bassin cible (faisant partie de la même région homogène). L’implantation des modèles régionaux permettent l’estimation des quantiles de crue lorsque l’information hydrologique en un site est absente ou insuffisante. Une estimation régionale comprend donc deux étapes principales : (1)- la détermination d’une région homogène (DRH)i par une méthode (i) et (2)- le choix et l’application d’une méthode d’estimation régionale (MER)i.
L’objectif principal de ce travail est le développement d’une méthode d’analyse de fréquence régionale devant permettre d’estimer les quantiles de précipitations maximales journalières en des sites ayant peu de données dans le bassin du Chéliff.
La méthode de délimitation des régions homogènes proposée et testée s’inspire des travaux de Hosking & Wallis [1993, 1990, 2005] et repose sur l’application des L-moments pour valider l’homogénéité statistique de la région et caractériser les paramètres de la distribution GEV choisie a priori. A titre de comparaison deux méthodes statistiques d’analyse de fréquence régionale ont été testée : L-moments et stations-années.
Cette étude devrait contribuer à l’exploration des caractéristiques complexes des précipitations extrêmes pour l’un des plus grands bassins du Nord de l’Algérie, ce qui est bénéfique pour les décideurs politiques et les parties prenantes dans la gestion des ressources en eau afin de formuler des stratégies régionales de lutte contre les risques des inondations.
The estimation of extreme precipitation events is a subject that raises more and more interest in the field of water science. However, this estimate is rather complicated due to these two main factors: (a) the lack of a physical basis for determining the shape of the underlying distribution of frequency rainfall and (b) the need to assess these rainfalls for return periods exceeding the record length observed. For high return periods (from 50, 100 years), the extrapolation to rare values of rainfall’s distribution in a given point raises the question of the asymptotic behavior of this distribution (the tail of the distribution) that is difficult to characterize considering the short series of local observations. This problem can be solved if we expand the data to the regional space, providing it is homogeneous, or made homogeneous by an ad hoc transformation.
The regional frequency analysis methods are used to estimate for a given site, and on the basis of regional information, rainfall of great magnitude or lower probability to exceeding in order to size some hydraulic structures (bridges, dikes, culverts, dams, the anti erosion structures and sewerage networks etc.) or to estimate the risks associated with failure of these structures resulting from extraordinary flood.
The basic principle of regional estimation techniques consists to add the local information spatial information from basins having a hydrologic regime similar to that of the target basin (part of the same homogeneous region). The implementations of regional models allow the estimation of flood quantiles when the hydrological information at a site is absent or insufficient. A regional estimate includes two main steps: (1) - determination of a homogeneous region (DHR)i by a method (i) and (2) - selection and implementation of a regional estimation method (REM)i.
The main objective of this work is the development of a regional frequency analysis method to estimate the maximum daily rainfall quantile at sites with limited data in the Chéliff basin. The method of delimitation of homogeneous regions proposed and tested is built on Hosking & Wallis works [1993, 1990, and 2005] and is based on application of the L-moments to validate the statistical homogeneity of the region and characterize the parameters of the chosen GEV distribution. For comparison two statistical methods of regional frequency analysis were tested: L-moments and station-years.
This study should contribute to the exploration of complex characteristics of extreme precipitation for one of the biggest basins of Northern Algeria, which is beneficial for policy makers and stakeholders in water resource management to formulate regional strategies against the risk of flooding
هذاالتقدير معقد نوعا ما والسبب راجعا إلى:
1) عدم وجود أساس مادي لتحديد شكل تواتر توزيع الأمطار
2) ضرورة تقييم هذه الأمطار عندما تفوق فترات عودتها طول سجل الأمطار المرصودة.
- من أجل فترات عودة معتبرة (50 أو 100 سنة وفوق) استكمال القيم النادرة لتوزيع الأمطار في بقعة معينة يطرح سؤال شكل الخط المقارب لهذا التوزيع ( ذيل التوزيع) حيث تكمن الصعوبة في تحديد خصائصها بسبب قصر العينات المرصودة محليا.
- يمكن حل هذه المشكلة إذا قمنا بتوسيع البيانات إلى الفضاء الإقليمي شريطة أن يكون متجانس أو جعله متجانس بواسطة تغيير مخصص لذلك. طرق تحليل التردد الإقليمي تستخدم لتقدير موقع معين وعلى أساس المعلومات الإقليمية الأمطار من حجم كبير أو أدنى احتمال لتجاوز من أجل تحديد أبعاد بعض المنشآت الهيدروليكية (الجسور, السدود, القنوان, هياكل مكافحة تأكل التربة وشبكات الصرف الصحي وغيرها).
أو لتقدير المخاطر المرتبطة بفقدان هذه الهياكل الناجمة عن الفيضانات الغير العادية مبدأ تقنيات التقدير الإقليمي تكمن في إضافة معلومات جوارية إلى المعلومات المحلية من الأحواض الهيدرولوجية من نفس نظام مماثل للحوض الهدف (جزء من نفس المنطقة المتجانسة) تطبيق النماذج الإقليمية تسمح بتقدير الفيضانات عندما تكون المعلومات الهيدرولوجية غائبة أو غير كافية محليا.
- يشمل التقدير الإقليمي خطوتين أساسيتين:
1) تحديد منطقة متجانسة 2) اختيار وتنفيد طريقة التقدير الإقليمي.
الهدف من هذه الدراسة هو تطوير طريقة تحليل التردد الإقليمي لتقدير الأمطار اليومية القصوى في مواقع مع بيانات محدودة في حوض الصرف لشلف.
طريقة ترسيم حدود المناطق المتجانسة المقترحة والمختبرة بنيت على أعمال هوسكينغ واليس( 1990 , 1993 , 1997) وتعتمد على تطبيق "لألمومو" للتحقق من صحة . GEV التجانس الإحصائي للمنطقة وتحديد خصائص البارامترات المختارة لتوزيع
- للمقارنة تم اختبار اثنتين من الأساليب الإحصائية لتحليل التردد الإقليمي أنتكس فلود أند و ستسيوا يورز يمكن اعتبار هذه الدراسة مساهمة مهمة لاستكشاف الخصائص المعقدة لهطول الأمطار القصوى لواحد من أكبر الأحواض في شمال الجزائر, وفائدة لراسمي السياسات وأصحاب المصلحة في ادارة الموارد المائية لوضع استراتيجيات إقليمية ضد مخاطر الفيضانات
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 6019 02-17-123 Version numérique et papier Bibliothèque USTOMB Thèse de Doctorat Exclu du prêt Documents numériques
Approche régionale pour l´estimation des distributions ponctuelles des pluies journalières dans le bassin hydrographique ChéliffAdobe Acrobat PDF
Titre : Hydrologie du sahara : carte pluviometrique et crues Type de document : document électronique Auteurs : TALIA Amel, Auteur ; MEDDI Mohamed, Auteur Année de publication : 2013 Importance : 195 p. Accompagnement : CD Langues : Français (fre) Catégories : Hydraulique:Hydraulique Mots-clés : Sahara algérien, carte pluviométrique, crues. Résumé : En premier lieu, cette étude a pour objet l’identification, dans « tout » le Sahara algérien d’une éventuelle fluctuation climatique et l’étude de ses conséquences sur les ressources en eau. En deuxième lieu, le grand intérêt de l’étude des crues est de jeter quelques lueurs sur la vitesse de progression et l’importance de ces crues. La majeure partie de travail a résidé dans l’analyse critique des données. Une étude du régime pluviométrique a été élaborée à partir de 160 stations météorologiques du Sud algérien. A la lumière des résultats obtenus par plusieurs tests diffèrent, la vérification de la normalité nous amène à conclure qu’à partir du Centre saharien les distributions sont assez dissymétriques. L’application de l’ACP avec rotation aux 71 stations a montré l’existence de quatre distributions statistiques géographiquement bien distinctes. Ceci est du à la diversité et à l’hétérogénéité du relief et à l’influence de l’Atlas saharien. Les représentations graphiques de l’évolution des totaux pluviométriques annuels ont mis en évidence une alternance de périodes sèches et humides sans pouvoir parler de cycles. Une diminution importante des pluies annuelles est enregistrée au cours des décennies 1940 et 1970. Afin de vérifier la signification de ces résultats, des tests statistiques de détection de rupture ont été employés à la totalité de l’information disponible dans les séries d’observations.
Deux méthodes de cartographie, le krigeage et la régression multiple entre les paramètres pluviométriques et topographiques ont été employées. Après la critique des données, 83 pluviomètres ont été gardé. Le nombre total des couples à pas de temps annuel est 3321 distants de 18,87044 Km. A priori, les paramètres proposés sont ceux d'un variogramme omnidirectionnel (tolérance de 90°) calculé sur la moitié du champ. Le pas d'exploration des distances est le 20ème de la moitié du champ (20 classes de distances). Le MNT recouvrant notre région d'étude a été complété et corrigé. Ensuite, notre sélection s’est portée sur un ensemble de variables morphométriques (5 au total) : distance à la mer ; Distance par rapport à l’Atlas saharien ; Altitude réelle ; Paramètres d'exposition. Les paramètres explicatifs ont été soigneusement choisis de façon à ce qu’ils soient facilement mesurables ou calculables pour n’importe quel point de l’espace.
La méthode de régression multiple utilisée est la méthode régressive. Le coefficient de corrélation multiple est de 80%. On peut ainsi obtenir une estimation de la pluie pour les sites des 83 postes pluviométriques et pour n’importe quel point de la région dont on connaît les coordonnées X et Y et les valeurs des paramètres explicatifs.
Pour l’étude des crues extrêmes, nous avons choisi le bassin versant situés au Sud Ouest de l’Algérie « Oued Seggueur ». Il est indispensable, avant d’effectuer des calculs probabilistes sur les débits de crue de porter un regard critique sur les jeux de données hydrométriques. L’étude de l’écoulement du bassin versant d’oued Seggueur a permis de retenir que l’irrégularité de la précipitation, la diversité des types de sol, les fortes pentes, perturbent la répartition de la lame d’eau ruisselée sur le bassin versant. Cette lame d’eau diminue du nord au sud et de l’ouest à l’est où les précipitations sont plus élevées et le réseau hydrographique bien hiérarchisé. Le volume ruisselé est faible par rapport à la surface du bassin ce qui explique qu’il y a une grande quantité d’eau qui s’infiltre avant son arrivée à l’interface sud du bassin et par la suite un faible volume d’eau sera emmagasiné dans le barrage. On conclut que les données ainsi obtenues nous interpellent de l’utilité de la construction de tel barrage dans un pareil site.
Pour le bassin versant de l’oued Seggueur QIXA10 a été estimé par la loi de GEV comme étant la plus adéquate QIXA10=360 m3/s, c’est un débit très élevé pour une telle période de retour ; la durée caractéristique de la crue du bassin vaut 12 heures. Ceci montre que l’activité accidentelle de l’oued Seggueur n’est pas négligeable tant au point de vue de la fréquence des écoulements que son importance quantitative.
Lors de l’étude QdF des séries des Qjmax, nous avons remarqué que le modèle convergent établi par Javelle (2000) ne peut pas être appliqué dans le cadre de la zone d’étude. Ceci est dû à la morphologie du bassin et surtout au climat désertique qui caractérise la région d’étude. On a conclu que la dynamique d’écoulement du bassin versant d’oued Seggueur est due essentiellement au rôle d’écrêter que joue le barrage de Brezina. Après l’application de la méthode du GRADEX, on a conclu que cette méthode donne des résultats fiables et elle convient particulièrement très bien lorsqu’il s’agit d’évaluer les crues extrêmes (période de retour 1000 à 10 000 ans) générées sur un bassin versant de taille modérée (inférieure à 15 000 km²), et lorsqu’une information en pluie et en débit est disponible
Hydrologie du sahara : carte pluviometrique et crues [document électronique] / TALIA Amel, Auteur ; MEDDI Mohamed, Auteur . - 2013 . - 195 p. + CD.
Langues : Français (fre)
Catégories : Hydraulique:Hydraulique Mots-clés : Sahara algérien, carte pluviométrique, crues. Résumé : En premier lieu, cette étude a pour objet l’identification, dans « tout » le Sahara algérien d’une éventuelle fluctuation climatique et l’étude de ses conséquences sur les ressources en eau. En deuxième lieu, le grand intérêt de l’étude des crues est de jeter quelques lueurs sur la vitesse de progression et l’importance de ces crues. La majeure partie de travail a résidé dans l’analyse critique des données. Une étude du régime pluviométrique a été élaborée à partir de 160 stations météorologiques du Sud algérien. A la lumière des résultats obtenus par plusieurs tests diffèrent, la vérification de la normalité nous amène à conclure qu’à partir du Centre saharien les distributions sont assez dissymétriques. L’application de l’ACP avec rotation aux 71 stations a montré l’existence de quatre distributions statistiques géographiquement bien distinctes. Ceci est du à la diversité et à l’hétérogénéité du relief et à l’influence de l’Atlas saharien. Les représentations graphiques de l’évolution des totaux pluviométriques annuels ont mis en évidence une alternance de périodes sèches et humides sans pouvoir parler de cycles. Une diminution importante des pluies annuelles est enregistrée au cours des décennies 1940 et 1970. Afin de vérifier la signification de ces résultats, des tests statistiques de détection de rupture ont été employés à la totalité de l’information disponible dans les séries d’observations.
Deux méthodes de cartographie, le krigeage et la régression multiple entre les paramètres pluviométriques et topographiques ont été employées. Après la critique des données, 83 pluviomètres ont été gardé. Le nombre total des couples à pas de temps annuel est 3321 distants de 18,87044 Km. A priori, les paramètres proposés sont ceux d'un variogramme omnidirectionnel (tolérance de 90°) calculé sur la moitié du champ. Le pas d'exploration des distances est le 20ème de la moitié du champ (20 classes de distances). Le MNT recouvrant notre région d'étude a été complété et corrigé. Ensuite, notre sélection s’est portée sur un ensemble de variables morphométriques (5 au total) : distance à la mer ; Distance par rapport à l’Atlas saharien ; Altitude réelle ; Paramètres d'exposition. Les paramètres explicatifs ont été soigneusement choisis de façon à ce qu’ils soient facilement mesurables ou calculables pour n’importe quel point de l’espace.
La méthode de régression multiple utilisée est la méthode régressive. Le coefficient de corrélation multiple est de 80%. On peut ainsi obtenir une estimation de la pluie pour les sites des 83 postes pluviométriques et pour n’importe quel point de la région dont on connaît les coordonnées X et Y et les valeurs des paramètres explicatifs.
Pour l’étude des crues extrêmes, nous avons choisi le bassin versant situés au Sud Ouest de l’Algérie « Oued Seggueur ». Il est indispensable, avant d’effectuer des calculs probabilistes sur les débits de crue de porter un regard critique sur les jeux de données hydrométriques. L’étude de l’écoulement du bassin versant d’oued Seggueur a permis de retenir que l’irrégularité de la précipitation, la diversité des types de sol, les fortes pentes, perturbent la répartition de la lame d’eau ruisselée sur le bassin versant. Cette lame d’eau diminue du nord au sud et de l’ouest à l’est où les précipitations sont plus élevées et le réseau hydrographique bien hiérarchisé. Le volume ruisselé est faible par rapport à la surface du bassin ce qui explique qu’il y a une grande quantité d’eau qui s’infiltre avant son arrivée à l’interface sud du bassin et par la suite un faible volume d’eau sera emmagasiné dans le barrage. On conclut que les données ainsi obtenues nous interpellent de l’utilité de la construction de tel barrage dans un pareil site.
Pour le bassin versant de l’oued Seggueur QIXA10 a été estimé par la loi de GEV comme étant la plus adéquate QIXA10=360 m3/s, c’est un débit très élevé pour une telle période de retour ; la durée caractéristique de la crue du bassin vaut 12 heures. Ceci montre que l’activité accidentelle de l’oued Seggueur n’est pas négligeable tant au point de vue de la fréquence des écoulements que son importance quantitative.
Lors de l’étude QdF des séries des Qjmax, nous avons remarqué que le modèle convergent établi par Javelle (2000) ne peut pas être appliqué dans le cadre de la zone d’étude. Ceci est dû à la morphologie du bassin et surtout au climat désertique qui caractérise la région d’étude. On a conclu que la dynamique d’écoulement du bassin versant d’oued Seggueur est due essentiellement au rôle d’écrêter que joue le barrage de Brezina. Après l’application de la méthode du GRADEX, on a conclu que cette méthode donne des résultats fiables et elle convient particulièrement très bien lorsqu’il s’agit d’évaluer les crues extrêmes (période de retour 1000 à 10 000 ans) générées sur un bassin versant de taille modérée (inférieure à 15 000 km²), et lorsqu’une information en pluie et en débit est disponible
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 4972 02-17-76 Version numérique et papier Bibliothèque USTOMB Thèse de Doctorat Exclu du prêt Documents numériques
02-17-76Adobe Acrobat PDFImpact des changements climatique sur les ressources en eau dans le bassin versant de oued fekan wilaya de mascara / DAHMANI Ali
Titre : Impact des changements climatique sur les ressources en eau dans le bassin versant de oued fekan wilaya de mascara Type de document : texte imprimé Auteurs : DAHMANI Ali, Auteur ; MEDDI Mohamed, Directeur de thèse Année de publication : 2010 Importance : 126 p. Accompagnement : CD Langues : Français (fre) Catégories : Hydraulique:Hydraulique Mots-clés : Variabilité pluviométrique, ressource en eau, Oued Fekan, Algérie
rainfall variability, water resources, Fekan Oued, AlgeriaRésumé : L’Algérie fait partie des zones arides et semi-arides, qui souffrent des sécheresses de
longue période. De forts déficits hydriques, entraînent des conséquences néfastes sur
l’environnement, le développement socio-économique, la ressource en eau en qualité et en quantité
et accroissent la dégradation des sols par érosion et désertification.
La région étudiée fait partie du bassin de l’oued EL Hammam (ouest de l’Algérie), qui
s’étend entre les latitudes 35.15° et 35.50° Nord et entre les longitudes 0° Ouest et 0.40° Est.
Les variations pluviométriques interannuelles moins importantes (coefficient de variation
varie de 0.27 à 0.37), avec une alternance des années humides et des années sèches. Une période
humide entre 1943 et 1960 s’est produite et une fluctuation autour de la moyenne interannuelle
(383.5mm) jusqu’à 1975 a été remarquée. Une deuxième période de sécheresse s’est produite
durant la période 1975 à 2004. Cette dernière est exceptionnelle par son intensité jamais observée
durant toute la période d’étude [Azaz H, 2001]. L'année 1981 présente la plus faible pluviométrie
avec moins de 211.7mm et l'année 1964 représente l'année la plus pluvieuse durant toute la période
d'étude (573.7mm). L’indice pluviométrique (indice centré réduit) nous a permis d’observer la
variabilité interannuelle ainsi que les périodes de déficits et d’excédents [Musy A, higy C, 2004 ].
L’évaluation de déficit hydrique est d’environs 570mm.
Les relevés de débits à la station principale de (Ain Fekan, 1968-2004), montrent une
irrégularité très nette. Le débit moyen annuel est de 3.52m3/s, avec un débit spécifique de 2.93
l/s/km2 et une lame d’eau écoulée de 93mm.
La région étudiée fait partie du domaine Tellien, elle concerne la plaine de Ghriss. Les
reliefs qui l’entourent correspondent à des pointements jurassique [Sourisseau P, 1973]. Au plan
structural, la plaine correspond à un fossé d’effondrement à substratum jurassique et à remplissage
plio- quaternaire.
La plaine de Ghriss est une entité hydrogéologique indépendante, formée par une
superposition de couches perméables, aquifères séparées par des formations imperméables qui
retiennent et mettent en charge ces nappes. Ainsi, quatre différentes nappes ont pu être identifiée,
soit de haut en bas: la nappe superficielle ou phréatique, la nappe des calcaires lacustres, la nappe
des sables et grés de Tighennif (Pliocène) et la nappe des calcaires dolomitiques (Jurassique).
L’objectif de ce travail consiste en une approche d’évolution de la ressource en eau dans le
bassin versant de Oued Fekan .
Pour atteindre cet objectif un chronique des précipitations, de débits, des fluctuations du
niveau piézométrique et des données climatologiques a été collectée.
Des relations entre l’état de la nappe (niveaux piézométrique), les écoulements superficiels
(débits) d’une part et les différents paramètres climatiques notamment les précipitations ont été
établies.
Algeria is one of arid and semi-arid areas, which suffer from the long drought period. Strong water
shortages, leading to adverse effects on the environment, socio-economic development, water
resources quality and quantity and increasing land degradation through erosion and desertification.
The study area is part of the basin of the Oued El Hammam (west of Algeria), the basin lies
between latitudes 35.15 ° and 35.50 ° North and between 0 degrees West longitude and 0.40°
degrees East.
Studies of the morphology characteristics of the watershed, climate, hydrology and
hydrogeology are needed to determine the parameters of the study area.
Interannual variations in rainfall is very important (coefficient of variation ranged from 0.27
to 0.37), with an alternation of wet years and dry years. A wet period between 1943 and 1960
occurred. Fluctuation around the mean interannual (383.5mm) to 1975 was noted. A second period
of drought was installed during the period 1975 to 2004. The latter is notable for its intensity never
observed during the entire period of study [Azaz H, 2001]. The year 1981 has the lowest rainfall of
211.7mm with less and the year 1964 represents the most rainy years during the study period
(573.7mm). The rainfall index (index centered reduced) has allowed us to observe the variability
and periods of deficits and surpluses [Musy A, higy C, 2004]. The assessment of water deficit is
about 570mm.
Statements of outflows from the main station (Fekan Ain, 1968-2004), shows a clear defect.
The mean annual flow is 3.52m3 / s, with a specific speed 2.93 l/s/km2 and a sheet of water
flowing from 93mm.
The study area is part of the Tellien, it affects the plain Ghriss. The reliefs that surround
correspond to points Jurassic [Sourisseau P, 1973]. In structural terms, the plain is a ditch collapse
in Jurassic bedrock and filling Plio-Quaternary.
Plain Ghriss is an independent identity Hydrogeological filed by an overlapping layer of
permeable aquifers separated by impermeable formations that hold and put in charge of these
nappes. Thus, four different layers could be identified, from top to bottom, the latest to the oldest:
the groundwater or surface water, ground limestone lake, the water and sands of immigrants
Tighennif (Pliocene) and dolomitic limestone aquifer.
The objective of this work is an approach to development of water resources in the
catchment area of Oued Fekan.
To achieve this goal a review of rainfall, flow rates, piezometric level fluctuations and climate
data was collected.
Relations between the state of the water table (piezometric levels), surface runoff (flow) on
the one hand and the different climatic parameters including precipitation has been established.Impact des changements climatique sur les ressources en eau dans le bassin versant de oued fekan wilaya de mascara [texte imprimé] / DAHMANI Ali, Auteur ; MEDDI Mohamed, Directeur de thèse . - 2010 . - 126 p. + CD.
Langues : Français (fre)
Catégories : Hydraulique:Hydraulique Mots-clés : Variabilité pluviométrique, ressource en eau, Oued Fekan, Algérie
rainfall variability, water resources, Fekan Oued, AlgeriaRésumé : L’Algérie fait partie des zones arides et semi-arides, qui souffrent des sécheresses de
longue période. De forts déficits hydriques, entraînent des conséquences néfastes sur
l’environnement, le développement socio-économique, la ressource en eau en qualité et en quantité
et accroissent la dégradation des sols par érosion et désertification.
La région étudiée fait partie du bassin de l’oued EL Hammam (ouest de l’Algérie), qui
s’étend entre les latitudes 35.15° et 35.50° Nord et entre les longitudes 0° Ouest et 0.40° Est.
Les variations pluviométriques interannuelles moins importantes (coefficient de variation
varie de 0.27 à 0.37), avec une alternance des années humides et des années sèches. Une période
humide entre 1943 et 1960 s’est produite et une fluctuation autour de la moyenne interannuelle
(383.5mm) jusqu’à 1975 a été remarquée. Une deuxième période de sécheresse s’est produite
durant la période 1975 à 2004. Cette dernière est exceptionnelle par son intensité jamais observée
durant toute la période d’étude [Azaz H, 2001]. L'année 1981 présente la plus faible pluviométrie
avec moins de 211.7mm et l'année 1964 représente l'année la plus pluvieuse durant toute la période
d'étude (573.7mm). L’indice pluviométrique (indice centré réduit) nous a permis d’observer la
variabilité interannuelle ainsi que les périodes de déficits et d’excédents [Musy A, higy C, 2004 ].
L’évaluation de déficit hydrique est d’environs 570mm.
Les relevés de débits à la station principale de (Ain Fekan, 1968-2004), montrent une
irrégularité très nette. Le débit moyen annuel est de 3.52m3/s, avec un débit spécifique de 2.93
l/s/km2 et une lame d’eau écoulée de 93mm.
La région étudiée fait partie du domaine Tellien, elle concerne la plaine de Ghriss. Les
reliefs qui l’entourent correspondent à des pointements jurassique [Sourisseau P, 1973]. Au plan
structural, la plaine correspond à un fossé d’effondrement à substratum jurassique et à remplissage
plio- quaternaire.
La plaine de Ghriss est une entité hydrogéologique indépendante, formée par une
superposition de couches perméables, aquifères séparées par des formations imperméables qui
retiennent et mettent en charge ces nappes. Ainsi, quatre différentes nappes ont pu être identifiée,
soit de haut en bas: la nappe superficielle ou phréatique, la nappe des calcaires lacustres, la nappe
des sables et grés de Tighennif (Pliocène) et la nappe des calcaires dolomitiques (Jurassique).
L’objectif de ce travail consiste en une approche d’évolution de la ressource en eau dans le
bassin versant de Oued Fekan .
Pour atteindre cet objectif un chronique des précipitations, de débits, des fluctuations du
niveau piézométrique et des données climatologiques a été collectée.
Des relations entre l’état de la nappe (niveaux piézométrique), les écoulements superficiels
(débits) d’une part et les différents paramètres climatiques notamment les précipitations ont été
établies.
Algeria is one of arid and semi-arid areas, which suffer from the long drought period. Strong water
shortages, leading to adverse effects on the environment, socio-economic development, water
resources quality and quantity and increasing land degradation through erosion and desertification.
The study area is part of the basin of the Oued El Hammam (west of Algeria), the basin lies
between latitudes 35.15 ° and 35.50 ° North and between 0 degrees West longitude and 0.40°
degrees East.
Studies of the morphology characteristics of the watershed, climate, hydrology and
hydrogeology are needed to determine the parameters of the study area.
Interannual variations in rainfall is very important (coefficient of variation ranged from 0.27
to 0.37), with an alternation of wet years and dry years. A wet period between 1943 and 1960
occurred. Fluctuation around the mean interannual (383.5mm) to 1975 was noted. A second period
of drought was installed during the period 1975 to 2004. The latter is notable for its intensity never
observed during the entire period of study [Azaz H, 2001]. The year 1981 has the lowest rainfall of
211.7mm with less and the year 1964 represents the most rainy years during the study period
(573.7mm). The rainfall index (index centered reduced) has allowed us to observe the variability
and periods of deficits and surpluses [Musy A, higy C, 2004]. The assessment of water deficit is
about 570mm.
Statements of outflows from the main station (Fekan Ain, 1968-2004), shows a clear defect.
The mean annual flow is 3.52m3 / s, with a specific speed 2.93 l/s/km2 and a sheet of water
flowing from 93mm.
The study area is part of the Tellien, it affects the plain Ghriss. The reliefs that surround
correspond to points Jurassic [Sourisseau P, 1973]. In structural terms, the plain is a ditch collapse
in Jurassic bedrock and filling Plio-Quaternary.
Plain Ghriss is an independent identity Hydrogeological filed by an overlapping layer of
permeable aquifers separated by impermeable formations that hold and put in charge of these
nappes. Thus, four different layers could be identified, from top to bottom, the latest to the oldest:
the groundwater or surface water, ground limestone lake, the water and sands of immigrants
Tighennif (Pliocene) and dolomitic limestone aquifer.
The objective of this work is an approach to development of water resources in the
catchment area of Oued Fekan.
To achieve this goal a review of rainfall, flow rates, piezometric level fluctuations and climate
data was collected.
Relations between the state of the water table (piezometric levels), surface runoff (flow) on
the one hand and the different climatic parameters including precipitation has been established.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 4951 02-17-55 Version numérique et papier Bibliothèque USTOMB Thèse de Doctorat Exclu du prêt Documents numériques
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