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Dépollution des effluents aqueux industriels par un métal de transition supporté sur charbon actif / GUEFAI Fatima Zohra 

Public ISBD Titre : Dépollution des effluents aqueux industriels par un métal de transition supporté sur charbon actif Type de document : texte imprimé Auteurs : GUEFAI Fatima Zohra, Auteur Année de publication : 2010 Importance : 108 p. Accompagnement : CD Langues : Français (fre) Catégories : CHIMIE:complexes organométallique, leur application en environnement et en catalyse. Mots-clés : charbon  DCO  oxydation  hybridation  oxydation catalytique Résumé : Ce travail s’inscrit dans le double contexte des procédés de traitement d’effluents aqueux et de l’utilisation du charbon actif comme matériau de référence dans ces traitements à base d’adsorption, d’oxydation catalytique ou des deux couplés dans un procédé hybride. Pour mener bien nos investigations, nous avons mis au point un montage expérimental simple, en adsorption comme en régénération. Le choix du polluant organique a été porté sur le phénol largement utilisé dans la littérature car il est représentatif des eaux industrielles. Nous avons commencé notre étude par la recherche de la température idéale qui favoriserait l’étape d’adsorption. Ensuite, nous avons effectué une étude préliminaire où d’abord un échantillon de charbon actif commercial a été utilisé afin de rendre compte effectivement de la durée de vie de ce matériau. Les résultats obtenus ont confirmé cet état de fait puisque le nombre de cycles a été trouvé égal à 5. La seconde série d’expériences a consisté à modifier le matériau adsorbant (CA) par imprégnation d’un métal de transition, du fer dans notre cas, puis à reprendre exactement l’étude précédente jusqu’à empoisonnement du matériau. Les résultats sont spectaculaires puisque cette opération a permis de quasiment doubler la durée du matériau puisque le nombre de cycles adsorption/ oxydation est passé de 5 à 9. Lors de ces deux séries d’expérimentation, nous avons estimé l’ordre de la vitesse d’adsorption. C’est ainsi que dans les deux cas (charbon actif seul ou modifié) nous avons trouvé que nous avons affaire à une cinétique d’ordre 1. Si globalement, les résultats auxquels nous sommes arrivés sont assez encourageants, cette étude mérite d’être mieux affinée tant au niveau de la caractérisation de matériaux (meilleure interprétation des spectres DRX et IR, estimation de la surface spécifique et du volume poreux par BT au cours du cycle de vie du matériau, et surtout la détermination précise de la quantité de fer réellement fixée par analyse chimique élémentaire). Le prolongement que l’on pourrait donner çà ce travail serait d’étudier, par exemple, l’influence de la teneur en fer sur la durée du matériau. Il serait également intéressant de reprendre cette étude en examinant le comportement d’un autre métal de transition autre que le fer. Directeur de thèse : KESSAS M. R Dépollution des effluents aqueux industriels par un métal de transition supporté sur charbon actif [texte imprimé] / GUEFAI Fatima Zohra, Auteur . - 2010 . - 108 p. + CD. Langues : Français (fre) Catégories : CHIMIE:complexes organométallique, leur application en environnement et en catalyse. Mots-clés : charbon  DCO  oxydation  hybridation  oxydation catalytique Résumé : Ce travail s’inscrit dans le double contexte des procédés de traitement d’effluents aqueux et de l’utilisation du charbon actif comme matériau de référence dans ces traitements à base d’adsorption, d’oxydation catalytique ou des deux couplés dans un procédé hybride. Pour mener bien nos investigations, nous avons mis au point un montage expérimental simple, en adsorption comme en régénération. Le choix du polluant organique a été porté sur le phénol largement utilisé dans la littérature car il est représentatif des eaux industrielles. Nous avons commencé notre étude par la recherche de la température idéale qui favoriserait l’étape d’adsorption. Ensuite, nous avons effectué une étude préliminaire où d’abord un échantillon de charbon actif commercial a été utilisé afin de rendre compte effectivement de la durée de vie de ce matériau. Les résultats obtenus ont confirmé cet état de fait puisque le nombre de cycles a été trouvé égal à 5. La seconde série d’expériences a consisté à modifier le matériau adsorbant (CA) par imprégnation d’un métal de transition, du fer dans notre cas, puis à reprendre exactement l’étude précédente jusqu’à empoisonnement du matériau. Les résultats sont spectaculaires puisque cette opération a permis de quasiment doubler la durée du matériau puisque le nombre de cycles adsorption/ oxydation est passé de 5 à 9. Lors de ces deux séries d’expérimentation, nous avons estimé l’ordre de la vitesse d’adsorption. C’est ainsi que dans les deux cas (charbon actif seul ou modifié) nous avons trouvé que nous avons affaire à une cinétique d’ordre 1. Si globalement, les résultats auxquels nous sommes arrivés sont assez encourageants, cette étude mérite d’être mieux affinée tant au niveau de la caractérisation de matériaux (meilleure interprétation des spectres DRX et IR, estimation de la surface spécifique et du volume poreux par BT au cours du cycle de vie du matériau, et surtout la détermination précise de la quantité de fer réellement fixée par analyse chimique élémentaire). Le prolongement que l’on pourrait donner çà ce travail serait d’étudier, par exemple, l’influence de la teneur en fer sur la durée du matériau. Il serait également intéressant de reprendre cette étude en examinant le comportement d’un autre métal de transition autre que le fer. Directeur de thèse : KESSAS M. R

Exemplaires

Code-barres	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
5489	02-06-504	Version numérique et papier	Bibliothèque USTOMB	Mémoire de Magister	Exclu du prêt

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