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Caractérisation et Bio-control de quelques maladies affectant le haricot(phaseolus vulgaris L)dans le Nord-Ouest Algérien. / DJELILATE Mohammed

Public ISBD Titre : Caractérisation et Bio-control de quelques maladies affectant le haricot(phaseolus vulgaris L)dans le Nord-Ouest Algérien. Type de document : texte imprimé Auteurs : DJELILATE Mohammed, Auteur Année de publication : 2023-2024 Accompagnement : CD Langues : Français (fre) Catégories : Biotechnologie :Biothechnologie Mots-clés : Haricot (Phaseolus vulgaris L), pathogène fongique, incidence, sévérité, Nord-Ouest Algérie. Résumé : Le Haricot (Phaseolus vulgaris L), occupe une part importante parmi les aliments les plus consommables en Algérie. Les maladies cryptogamiques (fongiques) constituent le facteur entraînant la mauvaise qualité et la réduction des récoltes. C’est la raison qui nous amène à réaliser le suivi des maladies du Haricot. Des prospections ont été effectuées au cours de la campagne agricole 2020-2021 dans Quatre zones agro-climatiques différentes dans le Nord-Ouest Algérien (Plaines côtières, Plaines intérieures, Hauts plateaux, Sahara) couvrant 06 départements (Oran, Mostaganem et Ain Temounchent, Tlemcen, Saida, Naama) et sur 09 sites. Les résultats montrent que l’incidence et la sévérité ont été significativement différents entre les différentes régions prospectées. L’incidence de la maladie a été significativement plus élevée chez les parties foliaires dans la proportion de 100 %, que chez les parties des gousses. Pour but d’améliorer la qualité et la sécurité alimentaire par des méthodes de protection plus naturelles comme l’utilisation des microorganismes tels que les bactéries lactiques, dans le cadre de la lutte biologique qui nous permets d’éviter et de minimiser les risques de pesticides des tests de confrontation in vitro entre la souche lactique Leuconostoc mesenteroides vis-à-vis quatre agents pathogènes (Fusarium oxysporum f. sp. phaseoli, Botrytis cinerea, Aspergillus flavus, Alternaria alternata) sur le milieu PDA et MRS Agar, ont montré une meilleure inhibition par la souche lactique sur milieu MRS Agar. La souche lactique leuconostoc mesenteroides a donné le taux d’inhibition le plus élevé 56,09 % pour l’agent pathogène Botrytis cinéria et (29.03%, 33.33%, 26.08%) pour les agents pathogènes (Alternaria Alternata, Fusarium oxysporum f. sp. phaseoli, Aspergillus flavus) sur le milieu solide PDA par contre sur le milieu MRS-Agar on observe un taux d’inhibition de 88,09 % et 80.48% pour les agents pathogénes Botrytis cinerea, Aspergillus flavus et une inhibition totale sur les souches Alternaria alternata et Fusarium oxysporum f. sp. phaseoli en présence de la souche leuconostoc mesenteroides et cela revient à ce que la souche lactique produit des substances inhibitrices sur son milieu spécifique. Ce qui nous a conduit à un second essai par une confrontation direct in vitro par différentes antagonistes naturels et la réalisation de ces tests par confrontation in vivo montre que la pulvérisation par le lait et le lactosérum (pasteurisé et non pasteurisé) et deux souches des bactéries lactiques (leuconostoc mesenteroide, lactobacillus plantarum) sur la plante de haricot a engendré des gains notables en bioprotection par l’augmentation de la taille des plantes et la réduction de l’effet pathogène des souches fongiques. Ces résultats ont permis de révéler que les produits laitiers et les bactéries lactiques appartenant au genre Bacillus et principalement le lactosérum peuvent être utilisées comme agents de lutte biologique. Directeur de thèse : MAMI Anas Caractérisation et Bio-control de quelques maladies affectant le haricot(phaseolus vulgaris L)dans le Nord-Ouest Algérien. [texte imprimé] / DJELILATE Mohammed, Auteur . - 2023-2024 . -  + CD. Langues : Français (fre) Catégories : Biotechnologie :Biothechnologie Mots-clés : Haricot (Phaseolus vulgaris L), pathogène fongique, incidence, sévérité, Nord-Ouest Algérie. Résumé : Le Haricot (Phaseolus vulgaris L), occupe une part importante parmi les aliments les plus consommables en Algérie. Les maladies cryptogamiques (fongiques) constituent le facteur entraînant la mauvaise qualité et la réduction des récoltes. C’est la raison qui nous amène à réaliser le suivi des maladies du Haricot. Des prospections ont été effectuées au cours de la campagne agricole 2020-2021 dans Quatre zones agro-climatiques différentes dans le Nord-Ouest Algérien (Plaines côtières, Plaines intérieures, Hauts plateaux, Sahara) couvrant 06 départements (Oran, Mostaganem et Ain Temounchent, Tlemcen, Saida, Naama) et sur 09 sites. Les résultats montrent que l’incidence et la sévérité ont été significativement différents entre les différentes régions prospectées. L’incidence de la maladie a été significativement plus élevée chez les parties foliaires dans la proportion de 100 %, que chez les parties des gousses. Pour but d’améliorer la qualité et la sécurité alimentaire par des méthodes de protection plus naturelles comme l’utilisation des microorganismes tels que les bactéries lactiques, dans le cadre de la lutte biologique qui nous permets d’éviter et de minimiser les risques de pesticides des tests de confrontation in vitro entre la souche lactique Leuconostoc mesenteroides vis-à-vis quatre agents pathogènes (Fusarium oxysporum f. sp. phaseoli, Botrytis cinerea, Aspergillus flavus, Alternaria alternata) sur le milieu PDA et MRS Agar, ont montré une meilleure inhibition par la souche lactique sur milieu MRS Agar. La souche lactique leuconostoc mesenteroides a donné le taux d’inhibition le plus élevé 56,09 % pour l’agent pathogène Botrytis cinéria et (29.03%, 33.33%, 26.08%) pour les agents pathogènes (Alternaria Alternata, Fusarium oxysporum f. sp. phaseoli, Aspergillus flavus) sur le milieu solide PDA par contre sur le milieu MRS-Agar on observe un taux d’inhibition de 88,09 % et 80.48% pour les agents pathogénes Botrytis cinerea, Aspergillus flavus et une inhibition totale sur les souches Alternaria alternata et Fusarium oxysporum f. sp. phaseoli en présence de la souche leuconostoc mesenteroides et cela revient à ce que la souche lactique produit des substances inhibitrices sur son milieu spécifique. Ce qui nous a conduit à un second essai par une confrontation direct in vitro par différentes antagonistes naturels et la réalisation de ces tests par confrontation in vivo montre que la pulvérisation par le lait et le lactosérum (pasteurisé et non pasteurisé) et deux souches des bactéries lactiques (leuconostoc mesenteroide, lactobacillus plantarum) sur la plante de haricot a engendré des gains notables en bioprotection par l’augmentation de la taille des plantes et la réduction de l’effet pathogène des souches fongiques. Ces résultats ont permis de révéler que les produits laitiers et les bactéries lactiques appartenant au genre Bacillus et principalement le lactosérum peuvent être utilisées comme agents de lutte biologique. Directeur de thèse : MAMI Anas

Exemplaires

Code-barres	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
9107	02-34-141	Version numérique et papier	Bibliothèque USTOMB	Thèse de Doctorat	Exclu du prêt